La rencontre de l'art, de la science, de la technologie et de la vie quotidienne

L'environnement Futuribilia fut la première cyberplanète. Elle fait partie des origines des cybermondes. Pour ce faire, les trois principales tendances inauguratrices ont été réunies : les nouvelles technologies et la cybernétique en particulier; l'interaction, la participation et la création au service des individus; les actions citoyennes originales vécues au quotidien.
En concordance avec les théories de la relativité, de la mécanique quantique et de la téléportation, Futuribilia révèle les inventions scientifiques les plus révolutionnaires du XXe siècle. De plus, cette planète favorise l'expérimentation de sculptures cybernétiques et virtuelles, de simulateurs de vol cosmique, d'un radeau de l'espace nommé Trans-ère, de véhicules interplanétaires et d'un écran de téléportation Dia-spectrum qui ensemble, laissent présager l'apparition d'une ère spatiale.
Cette union intime de l'art, de la science, de la technologie et de la vie quotidienne offre l'occasion d'une démocratisation totale. Elle met ces dernières véritablement à la portée de tous. Cela permet aux citadins de communiquer de neuve façon dans une nature urbaine, après des millénaires d'existences vécues majoritairement dans des villages. Sous forme ludique, voire festive, cette forme d'art favorise donc une communication nouvelle assistée des plus récentes technologies. Elle les unit intégralement à la vie quotidienne en impliquant des communautés entières, et ce, au cœur de la quotidienneté. En devenant des acteurs des événements, les citoyens devinrent des créateurs de fictions, voire de rêves. Au sein de ces lieux, ils imaginèrent des récits de vies tant espérés dans des mondes autres. Ce qui fit dire à certains : on croirait qu'on est sur une autre planète.